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« Le linceul est tissé, fabriqué par
un tisserand de qualité professionnelle,
qui n’était probablement possédé
que par un homme riche
(par exemple Joseph d’Arimathea).
Les fibres de lin sont traçables
jusqu’à la Méditerranée orientale
ou au Moyen-Orient.
La couture est identique à un artefact
trouvé à Masada en Israël,
daté entre 40 avant JC et 73 après JC.
Et le tissu a été daté par ailleurs
entre 300 avant JC et 300 après JC.
Les tests chimiques et biologiques prouvent
qu’il y a des taches de sang sur le linceul,
du groupe sanguin AB
et du groupe antigène MNS.
De plus, il n’y a pas de pigments de peinture
d’aucune sorte sur le Linceul,
ce qui élimine la possibilité que le Linceul
soit une sorte de faux artistique
extrêmement intelligent.
Le linceul porte l’image d’un mâle adulte,
1,80 m, avec des cheveux longs et une barbe,
un homme qui avait subi une crucifixion
à la mode romaine. »
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« le Linceul montre l’image mortuaire
d’un noble visage, les yeux clos, immobile.
Inexplicablement présente
sur le beau tissu de lin,
« imprimée » à la manière d’une radiographie,
comme si un événement
d’une force vitale inouïe avait laissé sa trace,
cette face interpelle.
Visage de la mort sur la croix…
mais représentation de Celui
qui est la Résurrection et la Vie.
Ce n’est pas le moindre mystère de cette image
que sa « tridimensionnalité » :
comment expliquer que ses traits,
une fois analysés, calculés, restitués
d’après l’intensité lumineuse de chacun
de ses points,
correspondent à une parfaite représentation
en trois dimensions ? »
https://reinformation.tv/reconstitutions-3d-linceul-turin-smits/