• MARIE D’HIER

    ma

    MARIE D'HIER ...

    QUI AMENA JÉSUS SUR TERRE,

    QUI AMENA CHRIST SUR TERRE,

    QUI AMENA L'ESPRIT DIVIN,

    QUI AMENA NOUVEAU CHEMIN !

    MARIE D'HIER

    MARIE LUMIÈRE !

  • MARIE ET LA RELIGION

    MARIE ET LA RELIGION

    LA RELIGION DIT

    C'EST LA MÈRE DU CHRIST.

    DOUCE SAGE OBÉISSANTE

    EFFACÉE PLEURANTE.

    VISAGE DE LEUR IDÉE

    DE LA FEMME ?

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    MARIE ET LA FRANCE

    MARIE ET LA FRANCE :

    UN CHEMIN TOUJOURS VIVACE

    MALGRÉ L’ÉTAT PUGNACE

    QUI VOUDRAIT LA FAIRE

    OUBLIÉE.

  • MARIE ET LES APPARITIONS

    MARIE ET LES APPARITIONS

    MARIE ET LES APPARITIONS :

    MARIE CONSOLANTE

    MARIE VEILLANTE

    MARIE RELEVANTE

    MARIE ENCOURAGEANTE !

  • MARIE AUJOURD’HUI

    MARIE AUJOURD’HUI

    MARIE AUJOURD'HUI :

    MARIE SILENCE

    MARIE SEREINE

    MARIE AGISSANTE

    MARIE

    POUR LA NOUVELLE VIE !

NAISSANCE DU DOGME ASSOMPTION

Posté par lemysterefurtif le 18 novembre 2022

enfantdieu

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Le garçon qui, guidé par la Vierge, révéla au Pape

le dogme de l’Assomption

L’histoire fantastique de Guilles Bouhours,

et le miracle qui a marqué le pontificat

du Pape Pie XII

– Dogme de l’Assomption de Notre-Dame.

À l’âge de 4 ans, il est porteur d’un message

de la Très Sainte Vierge Marie,

dans lequel il lui est dit que sa mission

est d’aller auprès du Pape Pie XII

pour lui transmettre ce que la Vierge

lui a communiqué.

*

Gilles Bouhours est né le 27 novembre 1944

à Bergerac, dans le sud de la France.

Alors qu’il n’avait que 1 an, il fut miraculeusement

guéri, grâce à l’intercession de Sainte Thérèse

de l’enfant Jésus.

À l’âge de 4 ans, il est porteur d’un message

de la Très Sainte Vierge Marie,

dans lequel il lui est dit que sa mission est d’aller

auprès du Pape Pie XII pour lui transmettre

ce que la Vierge lui a communiqué.

Gil, depuis qu’il était petit, avait beaucoup de piété,

priait pendant de longues heures

et on le voyait faire pénitence.

Et alors qu’il n’avait que trois ans, un jour,

il se tenait devant son père et lui dit :

« Père, La VIERGE m’a donné un message

que je dois transmettre au Pape.

Je dois aller le voir.

 Au début, le père n’a pas pris l’affaire au sérieux,

mais le petit Gil a persisté dans cette mission

pendant deux ans.

Et sa mère, par curiosité, lui a demandé

quel était le message.

La réponse fut immédiate :

« Maman, le message n’est pas pour toi,

il est pour le Pape !

À une occasion, son père lui a demandé :

« Et savez-vous qui est le Pape ?

GIL répond : « Le Pape est le Pape

et je dois transmettre le message de la Vierge !

 Les voisins, conscients de ce fait,

ont proposé de payer le voyage du garçon

et de son père à Rome.

Et l’année du Seigneur 1949, il est finalement parti.

Pendant le voyage, M. BOUHOURS

a eu cette pensée, avec quel visage toucherait-il

les portes du Vatican

et dirait « J’ai besoin d’une audience avec le Pape,

mais pas pour moi, mais pour mon fils de 5 ans !?

Et quand ils sont arrivés à Rome,

ils sont restés dans un collège français.

Au début, personne n’était au courant

de son arrivée, qui a eu lieu un mardi.

Le lendemain, un émissaire du pape a demandé

à l’entrée du collège, si un enfant de la région

de Lourdes y avait séjourné.

Et quand le père apprit ce fait, il fut stupéfait.

Comment le pape a-t-il appris notre arrivée ?

En tout cas, ce fut un soulagement de savoir

que l’audience était extraordinairement facilitée.

L’entretien aurait lieu le lendemain,

un jeudi 10 décembre 1949.

 Un secrétaire reçoit et emmène l’enfant parler

avec sa sainteté le pape,

et son père attend dehors depuis

environ une heure.

A noter : les audiences avec le pape

duraient rarement plus de 20 minutes.

A la fin de l’audience, le même Pape,

prenant l’enfant par la main, rend l’enfant

à son père, le remercie et dit : « Je demande

depuis quelque temps au ciel de me donner

une confirmation, un signe clair d’acceptation

du ciel, d’un dogme que je veux déclarer.

Et ton fils m’a apporté un message

de la Bienheureuse Vierge Marie ».

On ne sait rien de l’entretien du Pape

avec le garçon, qui a eu lieu en mai 1950,

sauf ce que le Pontife a fait savoir :

le garçon l’a informé, de la part de la Mère de Dieu,

que cette Dame, après sa vie mortelle,

est montée au Ciel en corps et âme.

Justement, le pape Pie XII avait demandé

à Notre-Seigneur un signe surnaturel

pour décider de proclamer le dogme

de l’Assomption de Marie.

Le petit Gilles était le signe que le Ciel

donna au Pontife, et ainsi, le 1er novembre 1950,

le Dogme de l’Assomption de Notre Mère du Ciel

fut proclamé.

Dès l’âge de quatre ans, le petit Gilles

est autorisé à communier.

Sa dévotion à Jésus-Saint-Sacrement

était extraordinaire.

Dès son plus jeune âge, il exprima également

son désir d’être prêtre et missionnaire.

Le 12 juin 1949, il fait sa première communion

et, deux mois plus tard, il entretient le dialogue

suivant avec un missionnaire bien connu :

– Que veux-tu être quand tu seras grand ?

– Prêtre.

– Et pourquoi veux-tu être prêtre ?

– Mettre Jésus dans la Sainte Hostie.

– N’aimais-tu pas aussi être missionnaire ?

– Que veut dire missionnaire ?

– C’est un prêtre qui fait que Jésus et Marie

soit beaucoup aimé.

– Oui, oui, bien sûr que je voudrais être

missionnaire.

Ce désir est devenu en lui une obsession,

se traduisant par une faim insatiable de Pain

des Anges.

Il n’avais pas peur du froid, ni de quoi que ce soit

au monde, quand il allait communier.

Son retrait était quelque chose d’inhabituel.

Il est même arrivé – jamais par jeu,

ni pour le plaisir –

pour célébrer des « messes blanches »,

c’est-à-dire réciter sur un autel,

placé dans un compartiment de sa maison,

toutes les prières de la messe,

comme dit le prêtre,

du début jusqu’à la fin, sans que la Consécration

ait lieu, comme il est logique,

mais recouverte des vêtements

qui avaient été préalablement confectionnés

à cet effet, compte tenu de sa stature.

Les sermons qu’il prêchait aux personnes

qui assistaient à ces cérémonies,

dignes d’un ange, étaient pleins de profondeur

et de ferveur, sans aucune erreur.

Il faut dire que lorsqu’il fut interviewé

par Sa Sainteté le Pape Pie XII,

il a chanté l’antienne liturgique

« Parce Domine », les bras croisés

et selon l’enseignement de la Sainte Vierge.

Un jour, il a protesté pendant le repas

parce qu’il n’aimait pas beaucoup la soupe.

il avais 5 ans. Son père lui dit que cela

ne plaisait pas à la Sainte Vierge,

car c’était un caprice insensé.

Le garçon a ensuite mangé toute la soupe

sans se récalcitrer et quand il a eu fini,

il a dit : « Papa, donne-m’en un peu plus.

C’est trop bon, cette soupe !

Une petite partie d’un sermon que Gilles

a prononcé le 13 septembre 1952

est transcrit ci-dessous :

«Aujourd’hui, nous allons parler de la Passion

de Jésus. Il était au Jardin des Oliviers

avec trois de ses apôtres.

Il savait très bien qu’il y en avait un

qui allait le trahir

et qui s’approchait de lui avec une intention

malveillante. C’était au milieu de la nuit,

et Jésus était sous le poids des péchés

des hommes.

Et il pria son Père en disant :

Que cette coupe… Puis, se tournant

vers ses Apôtres

endormis, il leur dit : « Ne pouvez-vous pas veiller

une heure avec moi ? Veillez et priez,

car ils vont livrer le Fils de l’homme.»»

Des expressions admirables dans une bouche

d’enfant. Quelques années plus tard,

Notre-Seigneur lui emmènera au Ciel.

Le 24 février 1960 Gilles tombe malade,

avec un mystérieux engourdissement

qu’aucun médecin n’a pu diagnostiquer.

Au bout de 48 heures, et après avoir reçu

les derniers sacrements,

l’adolescent (15 ans) décède.

Avant d’expirer, il a dit : « Je vais mourir,

mais ne pleure pas. Je suis bien et heureux. »

Puis il joignit les mains et pria :

« Mon Dieu, je te demande de me pardonner

tous mes péchés… Mon Seigneur, Jésus-Christ,

Dieu et vrai Homme… »

Il a rendu son âme à Dieu le 26 février 1960,

à 6 heures du matin.

Sur sa tombe sont gravés ces mots,

qu’il a dit lui-même :

    « Aimez Dieu et la Sainte Vierge.

Offrez-leur toutes vos souffrances

et ainsi vous retrouverez la paix de l’âme. »

  ( Gilles Bouhours)

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